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mardi 27 juin 2017

Planter un palmier

Pour une bonne germination, les graines de palmiers ont besoin d'une exposition prolongée à des températures élevées (soleil, radiateur, serre…) et d'une forte hygrométrie. Le temps d'exposition à la chaleur varie en fonction de l'espèce cultivée mais en règle générale il faut compter entre 2 et 8 semaines pour la levée des graines.
L'humidité est essentielle pour la germination, donc arroser.
Un pré-trempage des graines réduit la période d'exposition aux températures élevées : elles seront simplement immergées dans un récipient remplit d'eau à température ambiante de 24 heures à 72 heures. Il est préférable de changer cette eau tous les jours afin d'éliminer d'éventuels inhibiteurs.
Les graines semées dans une bonne terre de jardin germent généralement sans difficultés et se développent rapidement. Cependant, les sols contiennent souvent des organismes responsables de maladies, de prolifération des mauvaises herbes et de parasites. Aussi, l'utilisation de substrat strictement réservés aux semis est-elle parfois plus sûre. Les horticulteurs utilisent des matériaux divers, sables grossier, tourbe,  terreau à base de coco, vermiculite, écorces de pin et sciure de bois.
Il faut recouvrir les graines de palmiers avec une couche de substrat d'une épaisseur de 1 à 3 cm ou, plus généralement, d'au moins la même épaisseur que les graines. Le semis peut être dense; rapidement mises en pot après la germination, les plantules n'auront pas à souffrir du voisinage. Les récipients de semis doivent être assez profonds car les racines apparaissent les premières et s'enfoncent rapidement avant que les feuilles n'émergent au-dessus de la surface. Les pots individuels sont idéaux (ex : bouteille de lait dont on ôte le goulot).
Pour une germination rapide, l'idéal est de semer les graines dans des jardinières, pots ou bacs, de recouvrir d'un sachet en plastique et de maintenir à une température élevée.  L'utilisation d'une serre chauffante, de mini serre à semis simplifie ce bricolage.
Technique du sachet : Il s'agit de faire germer les graines dans un sachet en plastique et non dans une terrine ou un pot. On mélange parfaitement les graines avec de la tourbe, de la terre ou du terreau à base de coco et on enferme le tout dans un sachet en plastique solide fermé par un lien. Le sachet est placé dans un endroit ombragé, chaud et abrité. Les graines germent et les plantules sont ensuite repiquées en fonction de leur développement.
On peut facilement manipuler les jeunes plantules sans endommager les racines. Cependant, il ne faut pas laisser trop longtemps enfermées sinon elles sont trop serrées et finissent par s'étioler. Cette technique permet une levée plus régulière des graines.
Le sachet peut être transparent ou opaque mais résistant. Surveiller l’hygrométrie.
Dès que les jeunes pousses feront surface, elles auront besoin de lumière, mais ne pas exposer directement à la lumière avant que celles-ci ne mesurent 10 cm. Elles pousseront plus vite!
Quand les plants auront un an il sera temps de les rempoter dans un pot assez grand.
Naturellement le pot sera percé  dans le fond pour un bon drainage. Utiliser un bon terreau. Mélanger un peu d’engrais, de préférence naturel (par ex : fumier de vache).
Ne pas replanter le stipe plus profondément. Il ne sera pas nécessaire de rempoter la plante avant que quelques racines dépassent des trous de drainage.
Pendant le printemps et l’été, il faut donner assez d’engrais pour une bonne croissance. En hiver, il n’est pas conseillé de continuer le fumage. L’engrais organique comme le fumier de vache est idéal pour les palmiers. La plante aura une croissance supérieure. Faire attention avec l’engrais chimique souvent trop agressif pour les jeunes racines.
Ils peuvent être plantés en pleine terre, à condition de bien les protéger l’hiver. D'une manière générale, les palmiers ne supportent pas une trop forte humidité au niveau de leurs racines. Arroser lorsque la terre est sèche 10 cm au-dessous de la surface.




samedi 24 juin 2017

Haricot Kilomètre

Semer de juin à juillet dès que la température du sol est supérieure à 10°, en poquets de distants de 60/70 cm. Ne pas trop recouvrir les graines. La récolte se fera dès que les haricots sont bons à être cueillis, sans trop attendre pour éviter la formation de fils et pour permettre la pousse suivante. Les gousses vert pâle sont remarquables par leur longueur. Elles mesurent jusqu’à 1 mètre. Il faut les consommer à 50 centimètres. Se consomment comme le haricot vert. Leur saveur est un mélange de haricot et d'asperge.

mardi 23 mai 2017

Un piège à moustique fait maison

Il va vous falloir :
  • une bouteille en plastique vide,
  • 20 g de levure de bière (ou levure de boulanger),
  • 20 cl d’eau,
  • 50 g de sucre,
  • et du fil de fer si vous souhaitez le suspendre.
Préparez le piège à moustique :
Coupez la tête de la bouteille plastique et conservez-la. Si vous souhaitez suspendre le piège, enroulez un fil de suivre autour de la bouteille et tendez 3 ou 4 fils de fer pour l’accrocher.
Faites chauffer le sucre dans l’eau et laissez refroidir avant de verser ce mélange dans le bas de la bouteille. Saupoudrez de levure sans mélanger. Le mélange va naturellement se faire peu à peu et ce sont les gaz issus de la fermentation qui vont attirer les moustiques.

Retournez le goulot de la bouteille coupée sur l’autre partie, de manière à créer une sorte d’entonnoir naturel qui va piéger les moustiques. Placez le piège dans la maison.


jeudi 30 mars 2017

Astuce : Faire pousser des oignons à la maison…

1. Trouvez une grosse bouteille d’eau.
2. Découpez le goulot, pas trop à ras de façon à pouvoir passer la main.
3. Percez des trous dans la paroi de la bouteille.
4. Remplissez la bouteille par couches successives : une couche de terreau, une couche d’oignons germés…
5. Chaque germe doit être placé dans un trou (pour que la partie verte puisse se développer à l’extérieur de la bouteille).
6. Arrosez le tout.
7. Replacez le goulot que vous aviez découpé.
8. Placez la bouteille devant une fenêtre.
C’est la partie verte que vous allez couper et cuisiner… pas les oignons qui sont dans la bouteille…











source : humanosphere.info


mercredi 8 mars 2017

Utilisez des boîtes de rangement comme pots de fleurs

N'utilisez pas de boîte transparente car les algues risquent de s'y développer. Choisissez une couleur foncée, comme le vert ici.

C’est léger, pratique, économique !

jeudi 17 novembre 2016

Qu'est-ce que c'est que l'engrais vert ?

Le terme « engrais vert » fait référence à des cultures temporaires de plantes à croissance rapide, destinées à couvrir le sol entre deux mises en culture d'une parcelle, puis à être coupées et enfouies dans la terre pour l'enrichir naturellement en éléments nutritifs.
Associée à la rotation des cultures, la technique de l'engrais vert est utilisée aussi bien sur de grandes surfaces en agriculture, que sur des parcelles potagères en jardinage.
Un semis d'engrais vert fournit non seulement des apports nutritifs, mais aussi une couverture végétale au sol, ce qui :
  • réduit considérablement la pousse de mauvaises herbes et évite le recours aux herbicides avant de remettre la parcelle en culture ;
  • fixe l'azote dans le sol ;
  • réduit l'érosion du sol et en améliore la structure physique : le sol est aéré et décompacté par l'action des racines ;
  • gratuit ou presque : ne coûte que le prix des semences.
Les plantes utilisées en tant qu'engrais vert sont le plus souvent le trèfle, la vesce, la phacélie, la moutarde, le colza et la luzerne.
La plupart du temps, une seule plante est utilisée pour une parcelle, mais il existe également des mélanges tout prêts de plusieurs plantes : par exemple trèfle incarnat, vesce et avoine pour un mélange particulièrement riche en azote.
On peut acheter des graines de trèfle, vesce, phacélie, moutarde, colza et luzerne dans les grands circuits de distribution : magasins de bricolage et grandes surfaces, jardineries, internet. On peut également les choisir sur catalogue et les commander auprès de sociétés spécialisées dans la vente de graines par correspondance.

Engrais vert : comment l'utiliser ?

On sème un engrais vert dès qu'une culture se termine afin d'occuper le sol sans tarder, soit au printemps, avant les premières plantations, soit en fin d'été ou en automne, après une récolte.
On commence par griffer légèrement la surface du sol. Les graines sont semées à la volée, puis très légèrement enfouies par ratissage.
On fauche ou tond l'engrais vert tout de suite après la floraison et surtout avant la montée en graines.
Afin de ne pas enfouir une matière végétale trop verte risquant de pourrir, il vaut mieux laisser sécher les plantes quelques jours. Ensuite, on enfouit l'engrais vert dans le sol en bêchant superficiellement.

L'engrais vert ainsi enfoui dans le sol se décompose rapidement, fournissant à la parcelle de l'humus et de l'azote.


Source : ooreka.fr

Autres sites (liste non exhaustive) : 
- Rustica
- Binette et cornichon
- Germinance
- Ferme Sainte Marthe


jeudi 29 septembre 2016

Profitez de la période hivernale !

Lorsque les travaux sont réduits au jardin, concevez vous-même, très facilement et à partir uniquement de matériaux de récupération, un (ou des) hôtel(s) à insectes que vous placerez dans des endroits abrités des grosses intempéries.

En créant ainsi un environnement favorisant l'équilibre entre un nombre varié d'espèces végétales et un nombre varié d'espèces animales, vous encouragerez la biodiversité dans votre jardin.

Ces espèces animales amies nous aident à lutter contre les organismes nuisibles. Il peut s'agir d'oiseaux, de reptiles, de batraciens, de mammifères, d'insectes, qui se nourrissent ou qui parasitent les ennemis de nos cultures. Il faut donc chercher à les attirer car ils nous apportent une aide précieuse. Les principales espèces utiles sont les suivantes : l'araignée, la belette, le carabe doré, la coccinelle, la chauve-souris, la couleuvre, le crapaud, la chrysope, la guêpe parasite, la grenouille, le hérisson, le lézard, la musaraigne, l'oiseau, le rapace, la punaise, la syrphe.





Les étapes pour la construction d'un grand hôtel à insectes :





1- Commencez par repérer les matériaux naturels dont vous pouvez disposer pour constituer les refuges des insectes : rondins de bois, briques, paille, tiges de bambou. Choisissez des matériaux locaux qui offrent des trous plus ou moins gros pour correspondre aux différentes préférences des insectes.


2- Fabriquez l'ossature en bois, en la renforçant suffisamment pour porter un poids important. Privilégiez du bois résistant : douglas, mélèze, châtaignier... Ménagez la taille de vos espaces en fonction du volume de matériaux dont vous disposez. Placez les matériaux les plus lourds plutôt en bas.

3- Prévoyez une couverture imperméable de la structure (toit en ardoises par exemple).

4- Installez l'ossature à son emplacement définitif avant de la remplir (à cause du poids si l'hôtel est de grande taille). Surélevez l'ensemble d'environ 20 cm, pour le maintenir à l'abri de l'humidité (voir plus si vous avez un chien qui risque de venir lever la patte sur votre jolie maison à insectes). Pour éviter que, par grand vent, l'hôtel ne se couche, pensez à le stabiliser par des pieux enfoncés dans le sol et fixés de chaque côté de l'hôtel ou en attachant l'ensemble avec un câble à un mur par exemple.

5- Coupez vos matériaux selon la longueur désirée et remplissez chaque espace.


Conseil : si vous pouvez placer l'ensemble dans un endroit abrité du vent, et au soleil, vous pouvez prévoir qu'il soit ouvert sur les deux faces. Sinon, mieux vaut prévoir un dos plein pour que les insectes ne soient pas trop dérangés par les courants d'air.


   


Quels matériaux pour quels insectes ?
1. Paille ou bois : bien abrité, ce matériau pourra accueillir les jolies chrysopes, dont les larves se nourrissent de bien des parasites : pucerons, cochenilles farineuse, aleurodes (ou mouches blanches), thrips ou oeufs d'acariens.


2. Tiges de bambous : elles servent d'abri aux osmies, des abeilles solitaires qui pollinisent les premières fleurs des arbres fruitiers, dès le moi de mars.

3. Pots de fleurs retournés et remplis de foin : cela attire les perce-oreilles qui aiment les nuisibles comme les pucerons.

4. Planchettes de bois entassées derrière ces plaques en métal : où viendront se loger des insectes xylophages qui participent à la décomposition du bois mort.

5. Bûches percées : elles deviennent un abri très apprécié de nombreux pollinisateurs bien utiles comme les abeilles et guêpes solitaires, dont les larves se nourrissent de pucerons.

6. Fagots de tiges à moelle : comme la ronce, le rosier, le sureau, offrent des abris idéaux pour les syrphes et autres hyménoptères.

7. Briques : elles sont appréciées des osmies (abeilles solitaires).

8. Planchettes bien rapprochées et abrités : elles attirent les coccinelles qui viennent y passer l'hiver. Leurs larves consomment énormément de pucerons.

Durant l'hiver, vous pouvez également aménager toutes sortes d'abris pour les auxiliaires afin de les garder dans votre jardin : fagots de bois, tas de pierres ou rochers, hautes herbes... ces abris que l'on confectionne soi-même sont aussi jolis qu'utiles !


Hébergez ces hôtes utiles et peu exigeants qui sauront vous remercier dès le printemps !


Un modèle en palettes







Profitez de la période hivernale !

Lorsque les travaux sont réduits au jardin, concevez vous-même, très facilement et à partir uniquement de matériaux de récupération, un (ou des) hôtel(s) à insectes que vous placerez dans des endroits abrités des grosses intempéries.

En créant ainsi un environnement favorisant l'équilibre entre un nombre varié d'espèces végétales et un nombre varié d'espèces animales, vous encouragerez la biodiversité dans votre jardin.

Ces espèces animales amies nous aident à lutter contre les organismes nuisibles. Il peut s'agir d'oiseaux, de reptiles, de batraciens, de mammifères, d'insectes, qui se nourrissent ou qui parasitent les ennemis de nos cultures. Il faut donc chercher à les attirer car ils nous apportent une aide précieuse. Les principales espèces utiles sont les suivantes : l'araignée, la belette, le carabe doré, la coccinelle, la chauve-souris, la couleuvre, le crapaud, la chrysope, la guêpe parasite, la grenouille, le hérisson, le lézard, la musaraigne, l'oiseau, le rapace, la punaise, la syrphe.




Les étapes pour la construction d'un grand hôtel à insectes :






1- Commencez par repérer les matériaux naturels dont vous pouvez disposer pour constituer les refuges des insectes : rondins de bois, briques, paille, tiges de bambou. Choisissez des matériaux locaux qui offrent des trous plus ou moins gros pour correspondre aux différentes préférences des insectes.

2- Fabriquez l'ossature en bois, en la renforçant suffisamment pour porter un poids important. Privilégiez du bois résistant : douglas, mélèze, châtaignier... Ménagez la taille de vos espaces en fonction du volume de matériaux dont vous disposez. Placez les matériaux les plus lourds plutôt en bas.

3- Prévoyez une couverture imperméable de la structure (toit en ardoises par exemple).

4- Installez l'ossature à son emplacement définitif avant de la remplir (à cause du poids si l'hôtel est de grande taille). Surélevez l'ensemble d'environ 20 cm, pour le maintenir à l'abri de l'humidité (voir plus si vous avez un chien qui risque de venir lever la patte sur votre jolie maison à insectes). Pour éviter que, par grand vent, l'hôtel ne se couche, pensez à le stabiliser par des pieux enfoncés dans le sol et fixés de chaque côté de l'hôtel ou en attachant l'ensemble avec un câble à un mur par exemple.

5- Coupez vos matériaux selon la longueur désirée et remplissez chaque espace.


Conseil : si vous pouvez placer l'ensemble dans un endroit abrité du vent, et au soleil, vous pouvez prévoir qu'il soit ouvert sur les deux faces. Sinon, mieux vaut prévoir un dos plein pour que les insectes ne soient pas trop dérangés par les courants d'air.


   


Quels matériaux pour quels insectes ?
1. Paille ou bois : bien abrité, ce matériau pourra accueillir les jolies chrysopes, dont les larves se nourrissent de bien des parasites : pucerons, cochenilles farineuse, aleurodes (ou mouches blanches), thrips ou oeufs d'acariens.


2. Tiges de bambous : elles servent d'abri aux osmies, des abeilles solitaires qui pollinisent les premières fleurs des arbres fruitiers, dès le moi de mars.

3. Pots de fleurs retournés et remplis de foin : cela attire les perce-oreilles qui aiment les nuisibles comme les pucerons.

4. Planchettes de bois entassées derrière ces plaques en métal : où viendront se loger des insectes xylophages qui participent à la décomposition du bois mort.

5. Bûches percées : elles deviennent un abri très apprécié de nombreux pollinisateurs bien utiles comme les abeilles et guêpes solitaires, dont les larves se nourrissent de pucerons.

6. Fagots de tiges à moelle : comme la ronce, le rosier, le sureau, offrent des abris idéaux pour les syrphes et autres hyménoptères.

7. Briques : elles sont appréciées des osmies (abeilles solitaires).

8. Planchettes bien rapprochées et abrités : elles attirent les coccinelles qui viennent y passer l'hiver. Leurs larves consomment énormément de pucerons.

Durant l'hiver, vous pouvez également aménager toutes sortes d'abris pour les auxiliaires afin de les garder dans votre jardin : fagots de bois, tas de pierres ou rochers, hautes herbes... ces abris que l'on confectionne soi-même sont aussi jolis qu'utiles !


Hébergez ces hôtes utiles et peu exigeants qui sauront vous remercier dès le printemps !

Un modèle en palettes





samedi 10 septembre 2016

Trucs et astuces au jardin

Difficile de garder des ongles bien propres après avoir jardiné ou bricolé! Astuce : grattez un savon et faites en pénétrer une fine couche sous les ongles, cela empêchera toute salissure de s'y infiltrer! Ainsi, vous garderez des ongles parfaitement propres quoique vous fassiez...

Il paraît qu'avec des pommes de terre, on arrive plus facilement à bouturer un rosier. Il suffit de planter la tige de vos boutures dans une pomme de terre et de l'enterrer dans le jardin dans un endroit mi-ombre. 






L'engrais de bananes !
Au lieu de composter vos peaux de bananes, coupez-les en petits bouts et mélangez-les à la terre de surface de vos rosiers. En se décomposant elles leurs apporteront des éléments dont ils sont friands pour fournir une belle floraison.





Contre les cloques (feuilles roulées à cause des insectes) dans les arbres fruitiers : des coquilles d'œufs suspendues à une branche dans un filet à oignons ou filet à pommes de terre.   
Mais attention, la coquille d’œuf n’est efficace que si elle est fraîchement cassée! À bannir la coquille d’œuf cuit! Alors pour avoir un traitement efficace, changez vos coquilles le plus souvent possible. À installer dès la floraison.







Les limaces sont une plaie au jardin, elles mangent tout ce qu'elles trouvent sur leur passage. Alors pour vous en débarrasser, il suffit de placer sur le sol, plusieurs planches de bois aux endroits stratégiques de votre jardin. Naturellement, elles viendront se réfugier dessous pour s'y abriter. Vous n'avez plus qu'à retourner votre planche et ainsi récupérer toutes les limaces que vous enverrez paître ailleurs!
  


CONTRE LES PUCERONS : 

- insecticide à l'ail : faites bouillir 1 litre d'eau, versez-la bouillante sur 4 gousses d'ail broyées. Couvrez et laissez reposer 1 heure. Filtrez et pulvériser à froid directement sur vos plants infectés de pucerons.

- insecticide au savon liquide : pour 1 litre d'eau, ajoutez 20ml de savon ou liquide vaisselle bio + 20ml d'alcool à bruler. Mélangez et vaporiser sur vos plants infectés de pucerons.

- insecticide au bicarbonate de soude : pour 1 litre d'eau, ajoutez 
20 ml de savon liquide bio, 20 ml d'huile d'amande douce, 20 g de bicarbonate de soude. Mélangez bien et pulvérisez sur vos plants infectés. Laissez poser 15 à 20 minutes et ensuite rincez et arrosant vos plants.
Cette recette d’insecticide Bio permet de diminuer les attaques des différents insectes (pucerons, araignées rouges, etc.) dans votre jardin. Il est en plus efficace comme fongicide contre le blanc et la rouille.

- insecticide aux orties : laissez tremper des orties pendant une semaine dans un seau ou un arrosoir rempli d'eau. Couvrez et laissez poser une semaine. Filtrez ensuite votre mixture et rajoutez 1/4 d'eau, mélangez et pulvérisez sur vos plantes infectées de pucerons.



Arrosage en douceur avec une bouteille :








Pensez à remettre le bouchon après chaque remplissage...







Vous avez d'autres astuces qui fonctionnent bien? Partagez-les avec nous!